
Le lagon
En 2025, le bois de Saint-Pierre accueillera un lagon naturel pour remplacer les 3 anciens bassins de la piscine extérieure. Ce projet respectueux de l’environnement ne nécessite aucun traitement chimique et réduira de 5 fois la consommation d’eau par rapport aux bassins précédents. Le lagon ouvrira en juillet 2025 après plusieurs mois de travaux, et pourra accueillir jusqu’à 600 personnes par jour.

Crédit photo : Yann Gachet
De quoi s’agit-il ?
Le bois de Saint-Pierre, situé à Smarves, est la propriété de la Ville de Poitiers. C’est un espace forestier préservé de 255 hectares. Jusqu’en 2024, il comportait une piscine extérieure composée de 3 bassins, à l’entrée du site.
En 2025, dans le cadre d’un projet de transformation d’une partie de ce lieu, les bassins sont déconstruits pour être remplacés par un lagon naturel qui ouvrira au public en juillet.
Un nouveau lieu de baignade
Ce nouvel espace de détente et de loisirs comprendra la création d’une zone de baignade de 2100 m², au milieu des chênes existants. Le fond de la baignade et ses abords immédiats seront recouverts de sable.
Ce type d'aménagement ne nécessite aucun traitement chimique de l'eau : un système de filtration sur sable et de désinfection par rayonnement ultraviolet assurera le traitement de l'eau. Les consommations énergétiques sont également très nettement inférieures à celles d'une piscine traditionnelle, car l'eau n'est pas chauffée. Le projet ne nécessite aucune construction en béton en élévation ce qui permet une meilleure intégration dans l'environnement boisé du site.
Les consommations d'eau estimées sont de l'ordre de 20 m3/jour pour compenser principalement l'évaporation, soit 5 fois moins que la consommation actuelle. Les eaux de lavage des filtres seront collectées dans une cuve de récupération pour être utilisées pour l'arrosage des espaces verts.
600 visiteurs
600 visiteurs journaliers pourront être accueillis. Infos pratiques sur le Lagon du bois de Saint-Pierre
Calendrier du projet
Le projet en images

Crédit : Michel Goyer

Crédit : Yann Gachet

Crédit : Yann Gachet
